Une charmante rencontre (PV-Adélia)

J’étais couché sur mon lit impatient que le soleil se couche pour que je puisse sortir prendre l’air. Je caressai Link en me demandant que pourrai-je bien faire se cette nuit. Ça faisait un moment qu’il n’y avait pas eu de nouveau vampire au château. Je pensai qu’une visite à mon vieil ami serait agréable mais Lawliet passait le plus claire de son temps avec Miyuko. Je poussa un soupir tout en grattant la tête a mon aigle coucher dans le creux de mon bras. Il émit de petit gazouillait démontrant son confort. Le soleil s’endormie enfin sur les montagnes. Je tournai la tête vers ma fenêtre ouverte à toute heure du jour et de la nuit. J’entendis alors des petites plaintes d’animaux.

*Bien sur! Pourquoi n’y avais-je pas penser plutôt?! Pensai-je énerver, je me levai d’un bond me précipitant vers la fenêtre. Pourquoi je n’utilise jamais la porte? Me demandai-je en riant pour moi-même.*

Je me tourna vers Link pour lui faire signe de me suivre puis je me jetai dans le vide. Je ne savais pas pourquoi je courais puisque rien ne pressait mais pour une raison inconnue quelque chose me poussait vers mon refuge comme si ma vie en dépendait. En peux de temps j’arriva dans un petit coin cacher dans la forêt du nord. Je pivotai vers l’endroit d’où j’étais venu en attendant Link. Après quelque minute, je vis son ombre dans le ciel. Je tendis le bras pour qu’il puisse si poser. Je lui fit un sourire de vainqueur puis je m’assis sur l’herbe. Je sortis mon ocarina de ma poche et souffla quelque note forte. J’abaissa mon ocarina puis attendis un moment. En peu de temps, une bande d’animaux sauvage sortirent de l’ombre. Quelque chats, chiens, ratons... Tous mes petits protégés.

-Salut vous autres! Lançai-je à tous mes petits animaux poilus. Ça faisait longtemps que je n’étais pas venu vous voire. Je les flatta chacun leur tour.

J’avais rencontré chacun d’entre eux en les soignant de divers mal. Depuis le jour que je les ais guérie, je passe souvent leur rendre visite puisqu’ils sont ma famille...famille. Je perdis ma joie en baissant la tête. Je n’ais jamais eu de famille mise à part le Clan de Lawliet. Mais les vampires et les animaux ne sont pas la famille dont je rêve. J’ais toujours voulu rencontrer une femme que je vais aimer, chérir pour ensuite fonder notre famille mais se rêve ne se réalisera jamais. Mes amis se couchèrent près de moi me regardant en tournant la tête. Je leur sourie et reprit mon ocarina.

-Je vais vous jouez une petite balade. Leur dis-je avant de commencer ma chanson.

Je me mis à jouer « Pour Élise » de Beethoven. J’adore la musique classique surtout du Beethoven. Au même moment, tous mes jeunes amis se misent à « chanter » pour accompagner mon chant.

*Cette mélodie est plus belle au piano mais je ne peux pas en traîner un sur moi tout le temps. Pensai-je en faisant un petit sourire.*

Un vent glacial ébouriffa mes cheveux transportant ma chanson plus loin. Quelques minutes plus tard, je terminai ma chanson. Un sourire satisfait étira mes lèvres. J’allai débuter une autre litanie quand du bruit dans les buissons attira mon attention. J’arqua un sourcil puis me leva. Je m’approchai prudemment du bois quand un petit renard sortit en prompte mais s’écrasa au sol du a une blessure à sa patte.

-Mon pauvre ami...Que t’est-il arriver?

À toute vitesse, je couru vers ma chambre, agrippa une trousse de premier soin puis reparti de aussitôt. Tout ça me prit 2 secondes. Avec tendresse, je soigna mon nouvel ami et retourna m’asseoir le posant sur moi. Je m’allongea sur l’herbe en câlinant le petit renard coucher sur mon ventre. J’aurais resté ainsi toute ma vie mais un autre événement vient perturber ma tranquillité. Une louve noire sortit des arbres. Elle me regardait hésitante.

-Bonjours ma belle. Lui dis-je en m’assoyant.

Elle s’approcha doucement puis senti ma main. Link commença à pousser des cris stridents en agitant ses ailes. Je me tourna vers lui et lui siffla quelque notes apaisantes qui signifiait que tout allait bien et que je savais... Je me retourna vers la louve et lui sourit.

-Venez vous étendre un peu très chère. Je retournai me coucher près de mes animaux. Que fais une jolie louve que vous seule en cette soirée? Lui demandai-je avec Link qui avait l’aire de bouchonner de mécontentement que je n’aille pas virer la louve d’ici.

Je sortis du château mains dans les poches, manie que j’avais acquise plusieurs années auparavant. Je laissais le vent me rafraîchir le visage tout en marchant lentement pour en profiter au maximum. J’arrivai au pied d’un grand pin. Il était énorme en fait. Il mesurait au moins 25 mètres de hauteur ; le plus gros des environs. Sottement, je me demandai à quelle étage j’atterrirai en un seul bond. Je replia donc mes puissantes jambes avant de me propulsé vers le ciel. À ma grande surprise, je vis le pic du sapin s’éloigner de quelques mètres sous mes pieds. Malheureusement, la loi d’attraction veut que toute chose doit redescendre et je ne pus voir arriver la grosse branche qui rompu sous mon poids. Avec agilité, j’attrapai celle juste en-dessous. Je m’accroupis tout en m’esclaffant de plus belle.

Je contemplais la magnifique vue que la Lune éclairait sur la forêt et ses montagnes lorsqu’une brise emporta une musique qui captiva instantanément mon attention. Sans savoir pourquoi, je fus attiré par cette berceuse. Je descendis de mon perchoir en atterrissant durement sur mes pieds. Satisfaite de ne m'être pas casser la figure j'allais poursuivre mon chemin lorsque... Je me pris le pied dans une racine et tomba tête première sur le sol. * C'est bien moi ça...* pensais-je en secouant la tête. Je me leva, époussetai la terre sur mon jean et suivis la romance qui sonnait si bien à mes oreilles aiguisées. Je marchais lentement ( pour un lycan ) , car je ne savais rien de son auteur. La musique s’amplifiait de plus en plus et bientôt je n’eus qu’à repousser une branche de sapin pour l’apercevoir. J’en eus le souffle coupé. Un homme d’âge mûr se tenait là jouant d’un drôle d’instrument, mais qui produisait la plus belle musique qui soit. Beau, grand, musclé : assez séduisant pour un simple humain. Je pouvais clairement voir ses muscles qui prenaient forme sous sa chemise médiéval et ses yeux... deux pupilles dorées regardaient dans ma direction. J’étais si perdue dans la contemplation de l’homme que je n’avais pas remarqué que j’avais fait un pas dans sa direction écrasant des vieilles branches sèches. Il se leva. Je sentis mon coeur battre la chamade en pensait qu’il allait me découvrir bêtement cacher derrière un arbre en train de l’espionner.
À mon grand soulagement, un renard blesser à la patte jailli de l’ombre.

- Mon pauvre ami... Que t’est-il arrivé? lui dit-il avec une voix encore plus mélodieuse que sa musique.

L’homme s’occupa de lui derechef. Il s’allongea tout en caressant son malade sur son ventre. Une brillante idée me vint à l’esprit. Mon coeur m’assurait d’aller à sa rencontre, mais ma tête me harcelait de prendre mes jambes à mon coup. Mais je ne pus m’en empêcher... je me métamorphosa en louve sombre.
Prenant une grande respiration, je fis taire mon coeur qui voulait sortir de ma poitrine et me rapprocha prudemment de lui. Je le regardai me regarder.

- Bonjour ma belle, me dit-il en s’assoyant.

Hypnotisé par lui, je m’approchai et lui humai la main ayant l’air le plus “canin” possible. Une légère odeur me picota le nez. L’aigle à son côté ( que je venais tout juste de remarquer ) poussa des hurlements stridents. Il lui répondu d’un sifflement aigu ce qui le fit immédiatement taire. Se retournant vers moi, il me fit un sublime sourire et dit:

- Venez vous étendre un peu très chère.

Il retourna s’allonger. L’invitation était tentante, mais il me parlait comme si j’étais un être humain... ce qui n’étais pas faux à près tout. Comment un simple humain pourrais connaître l’existence d’être aussi fantastique que les lycans? Savait-il qui j’étais? Je vint m’asseoir à ses pieds. Il me jeta un coup d’oeil puis me demanda :

- Que fais une aussi jolie louve que vous seule en cette soirée?

Je me retournai pour être sûr qu’il s’adressait bien à moi et constatant qu’il n’y avait aucun être vivant derrière moi un sourire étira mes lèvres : il m’avait qualifié de jolie! Je devais absolument répondre à sa question. J’allai derrière ma première cachette récupéré mes vêtements que j’y avais enfouis. Je m’attendais à deux sortes de réaction : soit il allait continuer à me parler comme si de rien était, soit il allait prendre les jambes à son coup en criant et je réaliserai qu’il était un fou qui parlait aux animaux attendant une réponse à ses question. Je prit quand même le risque. Une fois habillée, je sortis timidement de mon repaire. Je m’accotai sur le tronc d’arbre gardant une distance respectable entre lui et moi. Il eu la réaction que j’espérais ; il ne broncha pas, toujours un beau sourire chaleureux pendu aux lèvres. Je ne pouvais voir son visage, car ma frange cachait mes yeux émeraudes. Quelques secondes silencieuses s’écoulèrent. Tic, tac, tic, tac... Je me décidai enfin à prendre la parole :

- Pourquoi êtes-vous si serein?

Il me dévisagea avec un gros point d’interrogation imprimé sur son visage de Dieu Grec.

- Il me semblait que les humains ne savaient rien à propos des lycans et autres créatures fantastiques... m’expliquai-je.

Elle se tourna vers moi puis se leva et retourna la où elle avait apparu. Après un moment elle ressorti du noir. Je la regardai bouche bé. De longs cheveux couleur nuit bouclés tombaient au milieu de son dos. Sa peau pale brillait sous la lumière de la lune ainsi que ces magnifiques yeux verts. Son chandail aux couleurs vives moulait son corps parfait. Des petites pommettes roses étaient visible sur son visage enfantin. Elle est la plus adorable lycan que j’avais croisé depuis toutes ses années. Elle s’accota sur un arbre. Je ne pu m’empêcher de lui faire mon plus beau sourire. Sa franche cachait son merveilleux regard émeraude. Quelques secondes passèrent. Je ne cessais de la regarder de la tête au pied émerveiller par sa beauté divine. Elle brisa le silence de sa voix qui était aussi doux que le vent qui frottait mon visage.

-Pourquoi êtes-vous si serein?

Ses paroles résonnaient dans mes oreilles comme si quelque agitait des petites clochettes. Malgré le son inouï que m’offrait sa voix, je me défais de son envoûtement pour m’interroger sur sa question.

- Il me semblait que les humains ne savent rien à propos des lycans et autres créatures fantastiques... s’expliqua-t-elle

*Elle croit que je suis un humain! Pensai-je en éclatant de mon rire envoûtant*

Après avoir réussi à cesser de rire, je la regardai encore plus émerveiller. Elle avait la tête baisser. Sûrement du à de la timidité.

-Je ne suis pas un humain mademoiselle...Ça fait déjà un bon moment que je n’ais suis plus un.

Je me levai gracieusement pour m’approcher d’elle. Je croyais rêver. Des pulsations étranges traversaient toute mon âme. Une partie de moi me disait de la prendre dans mes bras pour réchauffer mon corps si froid. De retrouver le confort agréable que j’avais ressenti quand Miyuko m’avait prise dans ses bras. De pouvoir la garder contre ma pauvre dépouille à jamais. Je luttais contre mon désir de l’avoir près de moi.

-Je me présente, je lui tendis ma main qui tremblait subtilement, je m’appelle John Valachie. Et pourvu ne pas vous déplaire, je suis un vampire et non un faible humain. Lui dis-je avec un sourire

J’espérais que le fait que je sois un vampire et elle un lycan n’aillait pas la faire fuir pour vouloir me tuer. Bien que si elle décidait de faire le deuxième choix, je n’allais rien faire puisque mourir entre ses mains seraient la plus belles des morts.

*Pourquoi suis-je entrain de penser à tout ça? Pourquoi je dis vouloir donner ma vie pour elle? Je n’ais jamais ressenti une telle attirance envers quelqu’un. Se n’est pourtant ni physique, ni alimentaire, ni envi de tuer qui me pousse vers elle. Alors, quel est ce curieux sentiment qui naît en moi? Me demandai-je sans trouver toute fois de réponse.*

Il éclata d’un rire éblouissant, ressemblant de près à un chant. Je relevai brusquement la tête vers lui envoyant ma frange au-dessus de mon fin sourcil. Je pus enfin voir son sourire si parfait. Je fus prise d’un intense frisson qui me hérissa le poils. Ma tête commença à tourné. Réalisant qu’une trentaine de seconde s’était écoulé avant ma dernière respiration, je remplis mes poumons d’air frais. L’homme ne cessait de rire. Je rabattis la tête, extrêmement gêner. Je crois que la dernière que j’avais été aussi embarrassé fut... non, je n’avais jamais été aussi embarrassé de ma vie. Je voulais tant lui plaire pour je ne sais quel raison, mais j’avais tout fait raté. Mais qu’avais-je dit de si drôle?
Subitement, son chant prit fin. Cependant avec difficulté. Je n’osai pas le regarder de peur qu’il ne reparte de son rire envoûtant. Je me remis les mains dans les poches en regardant mes pieds marteler le sol.

- Je ne suis pas un humain mademoiselle... Ça fait déjà un bon moment que je n’en suis plus un.

Je le regardai incrédule à ce qu’il venait de me dire. Il me parlait d'une manière si courtoise! Je le vis se levai gracieusement et se rapprocher vers moi. Je me concentrai pour respirer de façon régulière. Lorsque je le regardai dans ses pupilles dorées, il me regarda d’une étrange façon. Il ne me défigurait pas, mais plutôt comme si il se disputait avec lui-même. Je réalisai, avant qu’il ne prenne la parole, ce qu’il avait essayer de me dire quelques instant plutôt.

- Je me présente,me dit-il en me tendant la main, je m’appelle John Valachie. Et pourvu ne pas vous déplaire, je suis un vampire et non un faible humain.

Il était si mignon lorsqu'il parlait comme dans les années 1600, un vrai gentleman! J'en raffolais. Il me lança alors un sourire à coupé le souffle. Ce que je fit réellement. En reprenant immédiatement ma respiration, je lui sauta pratiquement dessus pour lui empoignée la main et la secoué frénétiquement le sourire jusqu’aux oreilles.

- Vous êtes un vampire!? C’est la première fois que j’en vois un! Je me disais aussi qu’un humain ne pouvait pas être aussi séduisant!

* Qu’est-ce que je peux être maladroite... * me dis-je en perdant mon sourire. Rectification, ceci était le moment le plus embarrassant de ma vie. J’avais tellement du paraître pour une hystérique! Je lâchai rapidement sa main sans toute fois m’éloigner de se corps qui m’attirait comme un aimant. Étant donné qu’il avait une tête de plus que moi, je continuais de le fixé de ma humble hauteur. Il me regardait aussi. Ma tête recommença à cogner, mon coeur me faisait souffrir tant il rebondissait fort. J’aurais tout donné pour qu’il me prenne dans ses bras à cet instant, si j’avais eu toutefois quelque chose à offrir. Le vent soufflait sur nos visages les rafraîchissant de bonne grâce, enfin le mien pas le sien, car d’après les informations que les lycans solitaires m’avaient appris des années auparavant, les vampires sont aussi froid que de la glace et ne ressente absolument rien... ce n’était pas l’impression que me donnais ce John Valachie. Je repris alors une grande respiration qui soulagea mes poumons en feu et ma tête cessa de cogner. Une faible arôme me picota le nez mélangé à une autre plus attirante, plus sensuelle.

- ... Je suis désolé! m’empressai-je de lui dire après une autre grande respiration.

J’allai m’asseoir dans l’herbe derrière lui, là où il était positionné avant que je ne panique. Le faucon qui n’avait pas cillé depuis le début poussa de faible cri lorsque je vint trop près de lui. Je le fixa sans vraiment le regarder. L’oiseau continua à pousser des cris, plus stridents alors. Je détourna le regard dans l’herbe - qui était, ma foie, incroyablement verte - mes boucles sombres cachant mon visage. Le petit renard qui n’avait pas pu fuir comme ses compagnons à cause de sa blessure à la patte tremblait de peur. Je lui fit alors sentir ma main et il se laissa flatter en restant tendu. Je ne savais pas si je devais avoir peur du vampire. J’étais plutôt même en admiration. Comme un enfant venant de rencontrer le Père Noël. Je savais très bien le concept des deux clans de Gelmir. Les vampires et les lycans sont ennemies. La ville est le garde-mangé. Mais j’étais nouvelle et je n’avais pas envie de me soumettre tout de suite aux règles. Je pensai à tout ça en une fraction de seconde.
Le vent souffla de plus belle mélangeant tout plein d’arôme.

Soudain, elle me sauta pratiquement dessus pour empoignée ma main et la secoué frénétiquement le sourire jusqu’aux oreilles.

- Vous êtes un vampire!? C’est la première fois que j’en vois un! Je me disais aussi qu’un humain ne pouvait pas être aussi séduisant!

Le contact de sa peau sur la mienne me rempli d’une joie inconditionnelle. Mais il fut vite interrompu car elle perdit d’un coup son sourire tout en lâchant ma main. Puisqu’elle est plus petite que moi je devais baisser la tête pour pouvoir admirer ses yeux qui brillaient comme des petites étoiles. Nous nous fixâmes pendant un bref instant et un vent souffla sur nous faisant balancer ses cheveux me donnant l’air qu’elle était un rêve trop beau pour être vrai. Elle prit un grande bouffer d’aire et reprit la parole.

-... Je suis désolé!

Elle alla s’asseoir dans l’herbe où j’étais installé un peu plus tôt. Link poussait encore des petits cris de méfiance envers la divinité qui s’était postée près de lui. Elle approcha sa main du petit renard qui était le seul à n’avoir pu fuir du à sa patte. Il tremblait de peur. Il huma sa douce main et se laissa flatter sans toute fois se détendre. Un autre vent souffla dans mon dos pour ensuite frapper la femme assise sur l’herbe. Bien que la force du vent n’affectait nullement notre équilibre, il me poussa tout de même à avancer vers elle. J’avais à peine prit place sur l’herbe que le petit renard se jeta dans mes bras enfouissant son museau dans mon coude. Je caressa son dos sous être capable de me défaire de l’emprise d’avait cette lycan sur moi.

-Ne vous inquiétez pas, il n’a pas peur de vous mais du loup qui cohabite avec vous. Comme ça, je suis le premier vampire que vous croisiez? J’en suis honoré et heureux que vous n’êtes pas tomber sur un de mes confrères qui eux vous auraient tués avant même que vous puissiez vous en rendre compte. Je pris une pause et lui sourit. Je suis enchanté d’apprendre que vous me trouver séduisant puisque je pense la même chose de vous mais je n’aurais pas employé se mot. Je fis mine de chercher. Éblouissante serait plus approprier pour vous décrire.

Je me glissai plus près d’elle. Je voulais tant prendre sa main chaude, tant l’avoir dans mes bras...C’est à se moment là que je compris. Je me remémora tout les romans que j’avais lu et tout se que je ressentais indiquais que c’était belle et bien sa...

*Je suis tombé amoureux...mais c’est impossible! Je connais cette femme depuis une dizaine de minutes! *

Beaucoup de livre parle du coup de foudre, de notre autre moitié mais essaie vraiment possible. Si les vampires et les lycans existent, pourquoi pas le coup de foudre? Rien ne certifiait toute fois que c’était réciproque.

*Et si elle ne ressent rien pour moi? Si elle est déjà prise? Si comme dans Don Juan, un autre homme la trouve aussi magnifique que moi, devrai-je le tuer pour la garder?*

Une panoplie de question défilait dans ma tête. Tout allait trop vite. Je ne me maîtrisais plus. Pendant, que j’étais occuper à faire taire mes penser, mon corps s’activa de lui-même sans que je lui aille ordonner. Je poussa ses cheveux derrières son oreilles et garda ma main contre sa joue brûlante.

-Quand je touche votre peau enflammée comme du feu, tout mon corps devient engourdi et tiède. Lui annonçai-je comme si j’étais hypnotisé.

Quand je réussi a reprendre le dessus sur mon corps je détacha ma main de sa joue délicatement. Un peu embarrasser par mon geste, je fuyais son regard en cherchant quelque chose à dire.

*Une chance que je ne peux pas rougir*

Je me racla la gorger et la regarda. Je fie un sourire tout en me grattant la tête se qui veux dire que je suis embarrasser.

-C’était si indiscret de ma part d’avoir demander votre nom? Trouvai-je à dire bêtement.

Je reportai mon attention sur le renard qui poussait des petites plaintes puisque j’avais arrêté de la cajoler. Je penchai légèrement la tête vers l’avant faisant tomber mes cheveux devant mes yeux.

Je gardais les yeux rivés sur l’herbe. Un vent doux souffla sur nous emportant un léger parfum qui me picota le nez. L’homme s’avança vers moi. Il marchait d’une manière élégante et robotique comme si tous ses mouvements étaient calculés d’avance. J’aurais bien aimé posséder une telle élégance pour l’impressionner à mon tour. Hélasse, j’étais incapable de regarder devant moi sans me prendre les pieds dans quelque chose. Du coin de l’oeil, je le vis s’asseoir près de moi. Mon coeur palpitait de plus bel. Le renard lui sauta dans les bras en enfouissant son museau dans le creux de son coude.

- Ne vous inquiétez pas, il n’a pas peur de vous mais du loup qui cohabite avec vous.

Je risquai un oeil vers lui. Il était si craquant! Je fixai ses iris dorées tandis qu’il continuait à converser. Lorsqu’il parlait, il y avait une sincérité et une telle politesse que j’en fus surprise.

- Comme ça, je suis le premier vampire que vous croisiez? J’en suis honoré et heureux que vous n’êtes pas tomber sur un de mes confrères qui eux vous auraient tués avant même que vous puissiez vous en rendre compte.

*...vous aurait tuée avant même que vous puissiez vous en rendre compte... * Je frissonnai à ces paroles. Je ne comprenais tout simplement pas pourquoi les vampires et les lycans se détestaient tant. Il prit une pause et me sourit. Je lui souris à mon tour. Je comptais bien le savoir...

- Je suis enchanté d’apprendre que vous me trouver séduisant... Mes joues s’empourpra à ce souvenir... puisque je pense la même chose de vous mais je n’aurais pas employé se mot.

Il fit mine de chercher. Ces quelques secondes de suspense me suffit pour avoir le vertige tant j’étais nerveuse. Je n’avais aucune idée de ce qui se passait. Pourquoi perdais-je la tête à chaque fois que mon regard croisait le sien, que sa fraîcheur léchait les pores de ma peau, que sa voix tintait à mes oreilles? Je n’avais qu’une seule réponse à cette question...

- Éblouissante serait plus approprier pour vous décrire.

Il se glissa tout près de moi. J’arrêtai de respirer. Je pouvais sentir la fraîcheur qu’emmenait sa peau sur le long de mon bras. Je n’avais qu’une envie : me jeter à son coup et l’embrasser langoureusement. Ma réaction à ses paroles me confirma mes propos. J’étais tombée dans les bras du coup de foudre. Bien qu’il fusse un vampire, rien ne me dérangerait : il était mon âme soeur, le destin en avait décidé ainsi. Une seule crainte se cachait en moi : voudra-t-il vraiment me serrer dans ses comme je le souhaitait tant? C’est vrai quoi, il était gelé comme de la glace et de je bouillais de l’intérieur. Comme pour répondre à mes inquiétudes, il glissa une de mes boucles derrière mon oreille brisant ainsi le bouclier que je m’étais fait contre la timidité. Conséquences : j’avais du mal à respirer, mes joues me brûlaient, mon coeur palpitait comme s’il voulait exploser, j’avais des papillons dans l’estomac et des fourmis dans les jambes du à ma position indienne. Je dépliai un peu les jambes en m’appuyant sur mon flanc gauche sans quitter John Valachie des yeux. Il déposa ensuite sa main glacée sur ma joue qui brûlait. Son contact provoqua un léger frisson dans tout mon corps, une première depuis ma transformation. J’aimais son toucher si froid et si doux contre ma peau. Je pressai légèrement ma joue contre sa main tout en fermant les yeux.

-Quand je touche votre peau enflammée comme du feu, tout mon corps devient engourdi et tiède, me dit-il d’une voix calme et reposante.

Brusquement, mais avec grâce, il détacha mon oreiller de ma joue - ce qui me fit ouvrir les yeux - et détourna le regard au loin. Probablement embarrasser par son geste qui n’aurait pas été normal entre deux connaissances d’une quinzaine de minute à peine. Mais je savais déjà qu’un lien solide était tissé entre nous. Aucune caresse de cet homme ne me causerait problème. Je le contemplai un bref instant. Le vent soufflait encore sur son visage triangulaire et parfait, balançant ses cheveux bruns - quasiment noirs au clair de lune - derrière lui. J’ouvris la bouche comme pour lui dire quelque chose, mais rien ne vint. J’aurais voulue lui dire moi aussi une phrase poétique, mais les beaux mots ne rentraient pas dans mes cordes.
Il se racla la gorge et me regarda un sourire embarrassé sur les lèvres. Il se gratta le derrière de la tête et me lança cette fois ci sur un ton plus amical:

- C’était si indiscret de ma part d’avoir demander votre nom?

Ce que je pouvais être bête! Je me grondai mentalement pendant que l’homme reporta son attention sur le renard dans ses bras qui venait de gémir. Il pencha sa tête créant un rideau de cheveux devant ses yeux. Je me plaçai devant lui en m’appuyant sur mes tibias. Le renard se mit à trembler lorsque j’approchai ma main du visage de John Valachie. Je levai son menton tendrement pour qu’il puisse me regarder dans les yeux. Ses yeux brillaient sous le clair de lune. Une poussé de gêne s’empara de moi, mais je me contrôlai et maintenu son regard si séduisant.

- Je m’appelle Adélia Jones, réussis-je à articuler en lui tendant la main.

J’avais déjà hâte de retrouver cette étrange sensation lorsque sa peau touchait la mienne. Je me levai ensuite pour me diriger vers une souche d’arbre. Avec une telle distance avoisinante, je n’aurais pas pu me retenir d’écouter les pulsations de mon corps.

- Dite moi monsieur Valachie, puisque vous semblez en savoir plus que moi sur l’histoire de nos compères pourquoi, encore aujourd’hui, les lycans et les vampires se détestent tant? Il y a bien des années que je tente d’obtenir des réponses à cette question, mais personne ne semble savoir exactement ce qui s’est passé.

Pendant que j’attendais sa réponse, le petit renard prit son courage à deux mains et vint me humer les pieds qui ne devaient pas sentir la rose dans ces converses mal aéré.

Elle vint se placer devant moi pour s’asseoir en s’appuyant sur ses tibias. Mes yeux s’écarquillèrent quand je vis sa main s’approcher de mon visage en faisant trembler le petit renard. J’attendais avec impatience un autre contact physique avec cette douce femme. Enfin, elle toucha mon menton pour le lever tendrement. Mon regard croisa le sien et le sien au mien. Le temps semblait s’être arrêter.

*Seigneur, elle est tellement adorable!*

Un léger son sorti de sa bouche telle un vent chaud du sud.

- Je m’appelle Adélia Jones.

Elle me tendit la main que je saisi immédiatement. Des frissons parcoururent encore une fois mon corps et mes pulsations s’amplifièrent de plus belle mais tout fut arrêter quand elle se leva pour se diriger vers une souche d’arbre.

*Une chance qu’elle s’est éloigner car je ne sais combien de temps j’aurais été capable de me contrôler.*

-Dite moi monsieur Valachie, puisque vous semblez en savoir plus que moi sur l’histoire de nos compères pourquoi, encore aujourd’hui, les lycans et les vampires se détestent tant? Il y a bien des années que je tente d’obtenir des réponses à cette question, mais personne ne semble savoir exactement ce qui s’est passé.


Je fus surpris de sa question puisque même moi je ne le savais pas. Pendant que je méditais cette question, le petit renard prit son courage à deux mains et vint humer les pieds de Adélia...

*Adélia Jones...Quel jolie nom...*

Je me mis en indien pour ensuite croiser les doigts sous mon menton. Je cherchais une réponse à sa question. Je relevai la tête vers elle.

-J’avoue que je suis très vieux mais pas assez pour vous confirmez se qui c’est réellement passé. Voyez vous, Depuis la nuit des temps, nos races existes et tout ceux qui ont vécu dans se temps là on tous été tués. Mais pour qu’une telle guerre explose, un ou des membres des deux clans ont du enfreint une ou même plusieurs règles...

Je me levai et avança vers elle sans me presser.

-...Par exemple, peu être qu’un lycan aurait tué un vampire et vice versa...

Je n’étais plus qu’à quelques pas d’elle.

-...Peut-être que ils ne se sont juste jamais aimés puisque nous n’aimons points nos aromes...

Je me tenais à 4 pouces de son adorable visage.

-...Ou sinon, peut-être que par une froide nuit d’été, un lycan et un vampire se sont croiser dans la forêt d’où est née un amour impossible. Une telle union serait risquée et vaudrait la peine de mort sûrement...

Je prit sa joue de ma main gauche et la cajola affectueusement. Étrangement, avec elle je me sentai libre de dire et de faire se que je pensais.

-...mais pour ma part, je prend volontiers se risque pour vous.

*Au diable si elle m’aime ou pas je ne peux plus me retenir maintenant!*

J’approchai ma bouche de la sienne avec prudence. Nos nez étaient collés. Je sentis son pou s'accélérer et son souffle s'activer bruyamment. Nos bouches allaient enfin se toucher quand je poussa un soupir et m’éloigna d’elle. La noirceur commençait à se dissiper. Je la regardai déçu que le temps nous aille rattrapés.

-Je dois malheureusement vous quittez. Ça faisait des années que je ne m’étais pas senti aussi bien et je vous en remercie.

Je reculai vers la direction de ma demeure.

-J’aurais aimer rester à vos côtés jusqu’à se que vous me demandiez de partir mais il est mieux de se quitter maintenant que d'attendre car la douleur m’aurait été atroce quand le temps aurait été venu de vous quittez à jamais...

Ma voix commençait à rouiller par le chagrin que je m’imposais.

-Au revoir.

Je parti dans un souffle. Je courais le plus vite que je pouvais pour regagner le château. Rendu près de la fenêtre de ma chambre, je plia mes jambes et bondi. J’atterris sur mon tapis sans difficulté. Je me couchai sur mon lit ne pouvant enlever le visage d’Adélia de mes pensés.

*Pourrai-je la revoir un jour? Mettrai-je sa vie en danger pour pouvoir la voir? Non, ça serait égoïste de ma part...*

Je fermais les yeux en méditant sur ces questions.

Il sembla surpris par ma question. Il se positionna en indien et croisa ses doigts fin sous son menton. Quelques minutes passèrent où je pus l’admirer. N’importe qui aurait pu croire que je parlais à une statut. Il était figé comme le marbre et incroyablement concentré. Finalement, il leva son regard doré vers moi.

- J’avoue que je suis très vieux mais pas assez pour vous confirmez se qui c’est réellement passé. Voyez vous, depuis la nuit des temps, nos races existes et tout ceux qui ont vécu dans se temps là on tous été tués. Mais pour qu’une telle guerre explose, un ou des membres des deux clans ont du enfreindre une ou même plusieurs règles...

- J’admet que c’est une hypothèse, lui dis-je en hochant la tête, l’air sérieux tout d’un coup.

Il se leva alors et se dirigea dans ma direction. Bien qu’il marchait tranquillement, les bras croisé sur sa poitrine comme s’il réfléchissait encore, ma respiration s'accéléra à une débit plus ou moins normal.

- ...Par exemple, peut-être qu’un lycan aurait tué un vampire ou vice versa...

Il s’arrêta à quelques pas de là où je me tenait. Je ne cessais de le regarder de haut en bas, mais heureusement pour moi il ne sembla pas le remarquer. J'acquiesça sans vraiment savoir pourquoi.

- ... Peut-être que ils ne se sont tout simplement jamais aimés puisque nous n’aimons points nos arômes...

Ma respiration coupa lorsqu’il approcha son visage parfait à quatre pouce du mien.

- ...Ou sinon, peut-être que par une froide nuit d’été, un lycan et un vampire se sont croiser dans la forêt d’où est née un amour impossible. Une telle union serait risquée et vaudrait la peine de mort sûrement...

J’étais persuadée qu’il parlait de nous, mais nous coûtera-t-il vraiment la vie de se lier l’un à l’autre? Il approcha sa main de ma joue. Je l’observa avec de gros yeux. Résisterais-je à se nouveau contact? Je me permis une courte respiration, car la tête me cognait. Il déposa sa main délicatement sur ma pommette en la cajolant chaleureusement... oui, bon, dans le sens littéraire du mot...

- ...mais pour ma part, je prend volontiers se risque pour vous.

Il l’avait dit! Enfin, pas mot pour mot, mais cela voulait bien dire la même chose! Il m’aimait! Je le savais! Nous étions fait l’un pour l’autre. J’avais trouvé mon âme soeur. J’étais plutôt doué pour décodé les messages subtiles. Mes yeux pétillaient de bonheur. Pendant que je sautais de joie dans mon for intérieur, il approcha sa bouche de la mienne. Je stoppa tout mouvement seule ma respiration bruyante se faisait entendre. Mon pouls cogna fort dans mes tempes. Il approcha tranquillement. Trop lentement à mon avis. Nous étions nez à nez à présents. Je fermai les yeux prête à goûter au paradis. Je le sentais tout près de moi, sa fraîcheur enveloppant mon visage. Nos lèvres allaient enfin s’embrasser. Je partis dans un autre univers. Je n’entendais que le son rapide de mon pouls dans mes tempes. Je l’entendis pousser un soupir au loin puis son contact froid s’éloigna. J’allai le chercher en embrassant le vide. Je faillis perdre l’équilibre en allant trop loin. J’ouvris vivement les yeux en attrapant le bord de la souche. Il était toujours là un peu trop loin cependant. Il affichait une mine incroyablement triste. Voir son visage aussi crispé par la tristesse me brisa le coeur. J’allai à sa rencontre en ayant l’intention de le question sur son humeur.

- Je dois malheureusement vous quittez, me dit-il en me faisant stopper brusquement. Ça faisait des années que je ne m’étais pas senti aussi bien et je vous en remercie.

Il devait me quitter? Serais-ce pour toujours? Je fus prise à un grand désarroi en pensant à cette option. J’en eu le vertige.

- Mais...

Je ne savais quoi lui dire. Il recula d’un pas toujours en me faisant face.

- J’aurais aimer rester à vos côtés jusqu’à se que vous me demandiez de partir...

Pourquoi lui aurais-je demander de partir? Il est mon âme soeur!

- ...mais il est mieux de se quitter maintenant que d'attendre car la douleur m’aurait été atroce quand le temps aurait été venu de vous quittez à jamais...

Il devra me quitter à jamais? De quoi parlait-il, bon sang! Sa voix rouilla à ces dernières paroles. Mes yeux s’embua et de grosses larmes perlaient sur mes joues. En fait, je ne voulais pas comprendre. Je ne voulais pas que ses paroles soit vrai. Je voulais qu’il me mente! Je voulais qu’il m’annonce en riant que c’était une blague, qu’il restera avec moi jusqu’à la fin des temps! Hélas, non.

- Au revoir, me dit-il en tournant les talons.

Je levai un bras faible vers l’endroit où il était partit comme pour le retenir, mais il était trop tard. Il était déjà bien loin, je ne le voyait plus à présent. Je me pris la tête entre mes deux mains et la secoua de gauche à droite. Je tombai durement à genoux. Non! C’était impossible, mais il m’avait glisser des doigts, partit à jamais. Une grande détresse s’empara de mon corps. Je me recroquevilla sur moi même entourant mes jambes de mes bras. De grosses larmes incessante roulaient sur mes joues déjà trempées. Pourquoi était-il partit si tôt? * Il est mon âme soeur * pensai-je en hoquetant. J’aurais tant voulue lui dire les bons mots pour qu’il reste à mes côtés...

J’enfouis ma tête entre mes genoux et pleura toute les larmes de mon corps. Au loin, le Soleil naissait derrière les montagnes.

J’avais quitté ma chambre au matin n’étant plus capable de rester seul puisque le visage baigner de larmes de Adélia revenait sans cesse. Je vins rendre visite au nouveau arrivant mais avec moins d’entrain. J’errais dans les longs corridors pour chasser les pleures d'Adélia que j'entendais clairement dans ma tête.

*Ais-je bien fait de la repousser? Je ne sais même pas si une union est possible entre nos deux races. Sûrement pas...*

Les jours passèrent lentement. Un peu trop même. Je n’étais plus capable de sourire, ni de rire. Ça faisait bientôt une semaine que je n’étais pas aller rendre visite au nouveau ainsi qu’à mes amis. Me nourrir aussi était rendu au bas de ma liste. J’étais assis dans la salle à manger, la tête coucher sur la table. Mes yeux étaient plus gris qu’à l’habitude. J’avais extrêmement faim. Je forçai ma pauvre dépouille à se lever pour aller chasser. J’étais à peine arrivé dans la ville que je croisai un homme d’assez bonne taille. Je lui sautai dessus d’intestins puisque ma soif était rendu incontrôlable tellement je manquais de sang. Après mettre rassasier avec les deux hommes que j’avais croisés pendant ma chasse, je retourna au château. Je laissais mes pas me guider. Soudain, un vent chaud me fit arrêter. Je fermai mes yeux. Le souvenir de ma nuit en compagnie d’Adélia me revint aussitôt.

*Mauvaise idée d’être sorti pendant une chaude nuit d’été et encore pire de mettre laisser guider à travers la forêt.*

Je jaugeai où j’étais pour me rendre compte que c’était ici même que j’avais vue mon ange pour la première et dernière fois. Je me jetai à genou en frappant le sol de toutes mes forces pour faire taire ma douleur. J’arrêtai ma folie pour accoter ma tête sur le trou que je venais de faire. Si je pouvais pleurer, j’aurais vidé toute l’eau que contenait mon corps.

*Espèce d’idiot! Pourquoi lui as-tu dit que tu ne voulais plus jamais la voir! C’est la femme de ta vie et tu l’as repoussé pour ne pas déshonorer ton clan! Elle vaut plus que ta propre vie, aller réveille toi!*

Cette dispute dans ma tête me fit réaliser à quel point Adélia comptait à mes yeux même si nous avons passé que quelques heures ensemble. Mes cris de douleurs attirèrent Link comme un aimant. Il vient se poser près de moi en poussant des petits gazouillis. Je leva mon visage déformer par la tristesse sur lui.

-J’ai fais la pire erreur de toute ma vie Link... Réussis-je à articuler

Il se blotti dans mes bras. Je le cajolai pour me calmer. Il se défit de mon étreint pour se mettre devant moi. Il poussa un cri qui voulait dire : parle moi.

-Cette femme qu’on a croisée il y a quelques jours... Je n’aurais jamais du la repousser. Je croyais bien faire puisque notre amour aurait été impossible et heureusement que le soleil se levait sinon je l’aurais embrassé et je n’aurais jamais plus me séparer d’elle...

Je me vidais le cœur sur Link. J’étais tellement concentré sur mes paroles que je n’entendis pas les branches se brisées sous le poids de pas qui approchais. Je continuais mon récit avec plus de tristesse qu’au début.

-...et maintenant, je me retrouve seul. J’aurais tellement du lui dire se que je ressentais. J’aurais du lui dit mot pour mot : Je vous aimes. Vous êtes la femme de ma vie, ma nouvelle raison de vivre. J’aimerais mieux revivre notre séparation une centaine de fois plutôt que de passer ma vie sans vous.

Je poussa un long soupire après se tout ces mots qui avaient débouler de ma bouche. Je senti alors la présence que quelqu’un près de moi.

*Pourvue que ça soit un lycan pour qu’il me punisse d’avoir rejeter l’amour ainsi en me tuant.*

Un autre vent chand souffla dans mon dos. J’humai subtilement l’air pour découvrir l’identité de mon visiteur.

*Cette odeur m’est familière...serait-ce...*

Je me tournai pour voir la personne qui se tenait à quelque mètre, même moins, de moi. La lune illumina mes pupilles or tout en éclairant tout le bois.

J’étais assise sur les marches qui menaient aux portes du château. Cela faisait déjà quelques jours que je n’étais pas sortie dehors prendre l’air. J’arrivais peine à mangé quelque chose. Je repensais et repensais à cette fameuse soirée. LA soirée que je n’oublirai jamais. Je n’aurais jamais osée pensé que le moment le plus joyeux et le plus malheureux d’une vie aurais pu se passé dans la même heure.
J’avais passé ces derniers jours cloîtrer dans ma chambre, coucher sur mon lit. Le beau visage parfait de John Valachie apparaissait dans mon esprit pendant qu’une petite voix intérieur (ou un petit diable selon moi) me répétait sans cesse que j’avais loupé ma chance de vivre heureuse avec mon âme soeur.
J’enfouis ma tête dans mes mains en retenant les larmes de couler ce qui fut tâche facile, car il n’y avait plus d’eau dans mon corps depuis la veille déjà. Une brise légère me fit lever la tête et j’aperçus le sentier que j’avais emprunté pour m’enfoncer profondément dans la forêt. Ce seul souvenir suffit pour me crisper le coeur.

Question de me torturer un peu plus, je me dirigeai vers le sentier. J’avançais comme une ombre insignifiante en comparaison de ceux des énormes, mais magnifiques chênes, érables et conifères. Je me rappelais parfaitement la scène tout se repassait dans ma tête à une vitesse folle. Tout d’abord moi, suivant timidement une berceuse... une magnifique berceuse interpréter par un homme à la beauté suprême... John Valachie puis nous discutions amicalement. Et enfin, je revécue douloureusement notre séparation. Mes yeux se voilèrent d’une ombre de tristesse pendant encore un bon moment.

Sans savoir pourquoi, mon coeur s’accéléra tout d’un coup. Je regardai autour de moi. J’étais presque arrivée. Pendant un bref instant, j’eus la folle idée qu’il était peut-être là à m’attendre. Je chassai immédiatement cette idée de mon esprit, car je savais que la déception m’aurait anéanti.

Je m’enfonçai plus profondément vers la source qui faisait palpiter mon coeur. Une bourrasque emmena un parfum familier à mon nez. J’humai l’air : un léger picotement et par la suite la douce odeur que j’aimais tant... Puis, je le vit, il était bien là à m’attendre. Un extrême joie s’empara de tout mon être et de larmes tièdes glissèrent sur mes joues. * Le destin nous a réuni! * pensai-je en essuyant mes joues trempées.

J’avançai vers lui. Il semblait en pleine conversation avec son oiseau. Je fus bientôt assez près pour entendre ses dires :

- ...et maintenant, je me retrouve seul. J’aurais tellement du lui dire se que je ressentais. J’aurais du lui dit mot pour mot : Je vous aimes. Vous êtes la femme de ma vie, ma nouvelle raison de vivre. J’aimerais mieux revivre notre séparation une centaine de fois plutôt que de passer ma vie sans vous.

Ces mots me toucha droit dans le coeur. Je pouvais maintenant me dire qu’il tenait vraiment à moi, qu’il m’aimait. Il n’empêchait qu’il m’avait abandonné à l’aube cette nuit là. Une légère rancoeur se forma peu à peu en boule au fond de mon estomac. Je me repris les esprits et franchi l’ombre qui me couvrait. Un vent chaud souffla dans mon dos pour aller s’écraser contre John Valachie. Ses yeux dorées m’observèrent pendant que je prenais place à 5 mètres de lui. Le claire de Lune éclairait la forêt nous offrant un splendide spectacle bleuâtre. Un silence timide régnait entre nous deux. Nous semblions tout deux être surpris par nos “retrouvailles”. Mes cheveux dansaient au rythme du vent et je les positionnèrent derrières mes oreilles.
Je le regarda dans les yeux. Je voulais y percevoir la raison pour laquelle il m’avait abandonné. Tout ce que je pouvais y déceler était la culpabilité. Il se leva dans ma direction. Je mit mes mains dans mes poches et me tournai de côté. Je fit mine de bouder, question de le culpabilisé un peu plus. Je fixais la forêt sans vraiment m’attarder sur quelque chose. Je voulais être en colère contre lui pour m’avoir fais perdre autant d’eau ces derniers jours, mais ce n’était que de l’amour que j’éprouvais pour lui, le vrai amour. Puisqu’il semblait attendre que je prenne la parole, je pris une grande respiration qui me remit les idées en place.

- Pourquoi m’as-tu abandonné? lui dis-je calmement sans même lui faire face.

Je me permis de le tutoyer, car ces derniers temps j’avais si penser à lui que je me sentais déjà intime avec cet homme. J’attendis patiemment sa réponse en humant l’air.

Oui, c’était bien elle. Ma douce Adélia se trouvait là, à quelques mètres de moi. Je la regardai avec mes yeux dorés emplis de culpabilité de l’avoir abandonnée ici même quelques jours plus tôt. Je me levai pour venir à sa rencontre. Elle mit ses mains dans ses poches pour ensuite se tourner de côté. Elle semblait me bouder. Je m’arrêtai à deux pas d’elle. Je ne savais quoi lui dire. Que devait-on dire à la fille de vos rêves mais que vous avez stupidement rejeter? Elle regardait au loin quand elle soupira pour prendre la parole.

- Pourquoi m’as-tu abandonné?

Une grosse boule se forma dans ma gorge. J’essayais de trouver les bons mots pour décrire mes intentions. Je pesai soigneusement mes paroles. Je la contournai pour lui faire face. Ses iris émeraudes fuyaient mon regard, mais je vis bien qu’elle était mêlée dans ses sentiments. À la fois bouleverser et heureuse de me voir.

-Ne pourriez-vous jamais me pardonner? Mon intention n’était pas de vous abandonnez. Je voulais plutôt vous protégez...

Je soupirai et alla m’accoter sur l’arbre le plus près. Ma réponse, quoi que peu convaincante, n’expliquait pas tout à fait mon geste. Je posai ma tête sur le tronc en me disait que je devrais juste lui dire la vérité. Être sincère.

-Vous allez peut-être trouver ma réponse banale mais pourtant c’est la vérité... Dis-je tout en me tournai pour aller me poster devant elle.

-J’ai fais ce geste pour deux raisons. La première c’est du au soleil qui se ranimait au loin, m’obligeant à vous quittez pour aller me réfugier. La deuxième c’est pour ne pas vous perdre. Vous rappelez vous quand je vous ais dit que je prendrai volontiers le risque d’être avec vous? Et bien, je trouvais hypocrite de ma par de mettre votre vie en danger pour moi. Je ne permettrai jamais que vous perdiez la vie par ma faute. J’ai préféré vous quitter sachant que votre cœur bat toujours que de rester avec vous et qu’il s’éteigne sous peu.

Je pris ses mains pour les serrer dans les miennes. Un sourire heureux parut sur mon visage froid. Le contacte de nos peaux m’avaient manquées.

-Maintenant, il est trop tard. Je vous aime. Vous êtes la femme de ma vie, ma nouvelle raison de vivre. J’aimerais mieux revivre notre séparation une centaine de fois plutôt que de passer ma vie sans vous. Je jure vous aimez et de vous protégez tant que je vivrais. Et je vais reprendre là où nous en étions rendus.

Je me plaquai contre elle en mettant ma main droite sur sa joue et l’autre sur sa taille pour l’enlacer tout en la gardant bien contre moi. J’approcha mon visage du sien et ne me fit pas prier pour coller mes lèvres aux siennes. Nous échangions enfin notre premier baiser d’amour. Je me sentis transporter dans un autre monde. La chaleur de son haleine entra en collision avec la froideur de la mienne. Ce curieux mélange provoqua des pulsions dans tout mon être. Je glissa ma main droite sur sa taille pour la coller le plus possible à moi. Je l’embrassai avec plus de ferveur et de passion maintenant.

Il était planté devant moi essayant de chercher mon regard. Je baissai les yeux en martelant le sol.

- Ne pourriez-vous jamais me pardonner? Mon intention n’était pas de vous abandonnez. Je voulais plutôt vous protégez...

Je savais bien qu’il voulait m’apaiser mais ses paroles firent plutôt l’effet contraire.

- Me protéger!? Me protéger de quoi!? D’être heureuse avec vous!? m’écriai-je.

Une chaude larme glissa en silence sur ma joue. Il soupira pour ensuite s’accoter contre un arbre près de moi. Il déposa sa tête sur le tronc. Je failli le rejoindre pour l’enlacer, mais je me retins et attendis en silence. Il y avait une sorte de froid entre nous... à moins que ce ne soit que seulement la fraîcheur qu’émane son corps.

- Vous allez peut-être trouver ma réponse banale mais c’est pourtant la vérité... dit-il tout en revenant se poster devant moi.

J’attendis patiemment qu’il poursuive. Link vint se poser sur une branche de l’arbre où John était quelques secondes auparavant. J’étais si curieuse de savoir quel sorte de raison il allait me sortir.

- J’ai fais ce geste pour deux raisons. La première c’est du au soleil qui se ranimait au loin, m’obligeant à vous quittez pour aller me réfugier. La deuxième c’est pour ne pas vous perdre. Vous rappelez vous quand je vous ai dit que je prendrai volontiers le risque d’être avec vous? Et bien, je trouvais hypocrite de ma par de mettre votre vie en danger pour moi. Je ne permettrai jamais que vous perdiez la vie par ma faute. J’ai préféré vous quitter sachant que votre cœur bat toujours que de rester avec vous et qu’il s’éteigne sous peu.

- Je sais me défendre tu-sais...

Un léger sourire apparu enfin sur mes lèvres. Il n’était pas hypocrite du tout. Je trouvais presque charmant le fait qu’il ne voulait pas ma mort si les choses s’avérait mal. Mais j’avais si pleurer pour lui que je n’étais pas capable de comprendre son geste si il m’aimait vraiment. Il prit mes mains dans les siennes et je dévoila cette fois-ci toute mes dents. J’avais retrouvé cette agréable frisson.

- Maintenant, il est trop tard. Je vous aime. Vous êtes la femme de ma vie, ma nouvelle raison de vivre. J’aimerais mieux revivre notre séparation une centaine de fois plutôt que de passer ma vie sans vous. Je jure vous aimez et de vous protégez tant que je vivrais. Et je vais reprendre là où nous en étions rendus.

Il ne me laissa même pas le temps de réfléchir ses paroles qu’il se plaqua contre moi déposant sa main droite sur ma joue et l’autre sur ma taille. Je savais bien ce qu’il tenta de faire et pour une fois je le laissa faire le travail tandis que je me laissai bercer dans ses bras. Il approcha son visage du mien et colla ses lèvres douces et fraîches contre les miennes. Ma tête cognait tant j’étais amoureuse. Je glissa mes mains vers son torse tout en agrippant sa chemise. La perpétuelle chaleur qu’occupait ma bouche fit place à la fraîcheur de son haleine pendant que je goûtait le bout de sa langue. Se fut un très curieux mélange de froid et de chaud. À nouveau un intense frisson parcourra tout mon être. Il glissa sa main droite sur ma taille en me serrant fort contre lui tandis que moi j’enroulait mes bras autour de son cou. Ses baisers furent plus passionné à cette instant et je ne pus me contrôler.
Je grimpai littéralement dessus en enroulant mes jambes autours de sa taille. Je pouvais le sentir presser ses mains dans mon dos et je fis de même autour de son cou. Il tenta de me décoller un peu de lui probablement que je me faisais trop intense, mais je n’écoutais que les pulsations de mon corps. Je déroulai mes jambes de lui sans détacher mes lèvres des siennes. Sans même contrôler ma force herculéenne, je le projetai contre un arbre qui craqua. Je ne le laissa pas reprendre sa respiration que je me replaquai contre lui. J’emmêlai l’une de mes mains dans ses cheveux tandis que l’autre essayait de délasser sa chemise sans grand succès. Ma main porta main forte à l’autre, mais en vain. Je laissai mes bonnes manières de côté, agrippa son collet et déchira la chemise en un grand coup de bras.
Tout de suite, je me sentis gêner et mes joues s’empourprèrent. Je le regardai de ma humble hauteur avec un léger sourire timide. Un mince rire s’échappa de ma gorge lorsque mes yeux rencontrèrent ses pupilles dorées. Ensuite, je reportai mon attention sur oeuvre en fronçant les sourcils. Une longue cicatrice traversait le milieu de sa poitrine. Je l’effleurai du bout des doigts puis se fut le tour de ma bouche de l’embrasser jusqu’à atteindre son cou. Je l’embrasser langoureusement pour ensuite le propulsa sur l’herbe. Je me projetai sur lui en plaçant mes jambes de chaque côté de sa taille. Je lui arracha le reste de sa chemise et l’envoya plus loin. J’enlevai à mon tour prestement mon chandail avec un peu de son aide ne me restant qu’une légère camisole blanche transparente sur le dos. Je me penchai sur lui m’apprêtant à reprendre notre cheminement mes cheveux de chaque côté de sa tête comme un voile, mais sa cicatrice ma frappa encore dans l’oeil. Et je ne pus aller plus loin.

- Mais que t’est-il arrivé? demandai-je en haletant.

La lune reflétait une lueur bleuâtre sur nous faisant briller ses pupilles ors.

Elle agrippa ma chemise pendant que moi je la serrai, sans l’étouffer toute fois, contre moi. Le sensation que faisait se mélange de chaud et froid étaient inexplicable. Aucun mot aurait été capable de décrire le plaisir, l’amour et le bonheur que provoquait se baiser. Elle enroula ses bras autour de mon cou. Je me rendis compte assez vite qu’elle avait plus de misère que moi à se contrôler. La grimpa littéralement sur moi en enroulant ses jambes autours de ma taille. Je pressai ma main dans son dos et elle dans mon cou. Nous étions si coller qu’on aurait dit qu’on ne faisait plus qu’un. J’essayais de me décoller de ses langoureux baisers mais elle n’avait pas l’air à vouloir mettre fin à notre étreinte. Elle déroula ses jambes de mon corps mais ne lâcha toujours pas mes lèvres. Depuis le début de notre moment intime, je faisais tout pour contrôler mes pulsations ainsi que ma force. Puisqu’elle était jeune, elle n’était pas encore habile à se maîtriser. Elle me projeta contre un arbre qui craqua sous mon corps. Elle ne me laissa pas le temps de reprendre mes esprits qu’elle se colla à nouveau à moi. Un sourire décourager et amuser de son attitude apparue sur le coin de mes lèvres.
Elle emmêla l’une de ses mains dans mes cheveux, se que je fis également, tandis que l’autre essayait de délasser ma chemise. Je voulu lui porter secoure mais elle prit ses deux mains et déchira ma chemise de tout son long. Je sentis bien sa gêne et ses joues plus brûlantes que d’habitude. Elle me regarda avec un léger sourire timide. Je lui fis un sourire moqueur tout en secouant légèrement la tête. Un adorable petit rire s’échappa de sa gorge lorsque ses iris rencontrèrent les miennes. Elle reporta son attention sur travail en fronçant les sourcils. Elle effleura ma longue cicatrice du bout de ses doigts suivi par sa bouche. Elle ses lèvres continua son parcoure jusqu’à mon cou. Elle m’embrassa langoureusement pour ensuite me propulser sur l’herbe. Elle se jeta sur moi en plaçant ses jambes de chaque côté de ma taille. Elle arracha le reste de ma chemise et l’envoya plus loin. J’essayai à mon tour d’enlever son chandail mais sans le déchirer mais ma lenteur du l’agacer puisqu’elle l’enleva prestement. Elle porte une camisole blanche transparente qui moulait tout son corps. Je longea sa taille chaque côté de sa fine taille, avec mes mains, pour les déposer sur le haut des ses fesses. Elle se pencha sur moi. Ses cheveux donnaient l’effet d’un voile de chaque côté de sa tête. Je levai la tête pour pouvoir l’embrasser encore mais elle m’arrêta à mon grand d’espoir. Elle regarda ma cicatrice.

-Mais que t’est-il arrivé? Haleta-t-elle.

La lune reflétait une lueur bleuâtre sur nous faisant briller mes pupilles or qui était plus éclatant qu’à l’habitude. Je m’accotai sur mes coudes pour regarder mon torse. Je n’avais jamais vraiment porté attention à cette marque puisque je ne savais pas d’où elle venait. Elle était en diagonal et partait de mes pectoraux pour finir sur mes côtes. Je arqua un sourcil en me demandant se qu’y m’était arriver. Je me rappelai le flash back que j’avais eu quand j’étais avec Miyuko. J’étais enchaîné à un mur dans une tour. Mais pourquoi? Qu’avais fais de si grave? Je fermai mes yeux en cherchant des réponses.

*Allez. Un autre flash back s’il vous plaît...*

Je me concentra sur mon passer mais rien se produisit. Adélia avait encore sa main sur ma blessure. Je regarda sa main et c’est à se moment la qu’un souvenir me frappa. Je reconnu sans mal mon moi humain mais les trois femmes apeurées m’étaient inconnues. Ils étaient tous coller les un contre les autres sauf le moi humain qui lui avait une position défensive devant les autres. Je regardai la scène avec attention. Le bois de la porte d’entrer résonnait sous des coups de points.

-Allez tous dans la trappe secrète! Moi je vais les ralentir. Cria le moi d’avant.

-Non frère! Tu vas te faire tuer! Répliqua une jeune fille aux cheveux blonds et aux iris noisette.

-N’ai pas peur Céleste. Tout va bien aller. Maintenant partez!

Elle se jeta dans mes bras en pleurant. Je la serra contre moi et la repoussa. Une dame aux cheveux long brun s’approcha de moi en tremblant. Ces yeux bleus étaient voilés de larmes.

-Ton père aurait tellement fier de toi John. Je n’aurai pu souhaiter avoir un meilleur fils que toi.

Elle m’embrassa sur la joue et agrippa le poignait de la plus jeune pour l’entraîner dans une autre pièce. La dernière femme était la plus belle. Ces cheveux noirs ondulés lui arrivaient à la taille et ces yeux bruns/verts étaient emplis de douleur. Elle me prit dans ses bras.

-Tu n’avais pas à faire ça pour moi! Tu n’aurais jamais du mettre ton nez dans tout sa!

-Je n’avais pas le choix! Je ne les aurais jamais laissé te faire ça. Allez va-t-en. Je vous rejoindrai. Je t’aime Lélia.

-Moi aussi je t’aime John.

Leur baiser fut court mais passionner. Elle se retourna en pleurant pour ensuite se diriger vers la pièce où étaient parti ma sœur et ma mère. Je regardai la scène difficilement. Soudain, la porte se défonça et des hommes entrèrent. Je sortis mon épée et commença à me battre. Mais pendant que je me battait avec un, un autre arriva et me toucha le torse. Je reculai pour regarder mon chandail qui était coupé en diagonal et qui saignait. Des hommes m’immobilisa et m’entraîna en dehors de la maison. Je voulu les suivrent mais mon souvenir était fini. J’ouvris les yeux et vis le doux visage d’Adélia qui me regarda inquiète. J’enroula mes bras autour d’elle pour la forcer à se coucher contre moi. J’enfoui mon visage dans son épaule. En moins d’une minute, j’avais découvert que j’avais une petite sœur, une mère, un père décéder et une femme... Mais je ne comprenais toujours pas. Pourquoi m’avait-elle dit que je n’avais pas à faire ça pour elle? Je cherchai les mots pour expliquer se que j’avais vue à Adélia. Je la décollais un peu de moi pour pouvoir la regarder.

*À partir de maintenant, je dois essayer de savoir qui j’étais et se qui m’étais arriver dans ma vie d’humain.*

-À ce qui parait, j’ai voulu défendre ma famille en me battant mais j’ai été toucher et capturer.

Il s’accota sur ses avant-bras et observa sa propre cicatrice. Il semblait lui-même se poser la même question. Il arqua un sourcil et ferma les yeux. Je respectai son silence bien que la curiosité me rongeait. Il déposa alors son regard sur ma main qui reposait toujours sur son torse. À ce moment, on aurait dit qu’il était partit dans un autre monde. Je le regardai patiemment en attendant une réponse. Pendant ses songes, je le vis carrément se battre avec un lui-même intérieur. On aurait dit qu’un film filait dans son esprit. Je pris son visage entre mes mains pour ensuite lui caresser les cheveux. Je voyais bien qu’il souffrait d’une certaine manière ou qu’il était inquiet ; tout ce qu’il voyait dans sa tête se transmettait en émotion sur son doux visage de vampire. Je n’aurais jamais cru, après tout ce que les autres lycans m’avaient dit durant ma période de solitaire, qu’un vampire aurait pu paraître si humain. Les autres lycans solitaires avaient probablement exagérer en disant que les buveurs de sang restait des statuts de pierre sanguinaire ne ressentant aucune émotion. Bref, j’attendis patiemment qu’il revienne à lui. J’essayai de le rassurer, le calmer en lui jouant dans les cheveux, mais ce n’est que bien plus tard qu’il rouvrit enfin les yeux. Il sembla perdu pendant un instant puis il m’aperçut perché sur lui. Il me décolla un peu de lui pour pouvoir me fixer dans les yeux. Pendant ce moment de silence, la curiosité avant pris de plus en plus de place en moi et je sautais pratiquement sur place pour avoir la réponse à ma question.

- À ce qui parait, j’ai voulu défendre ma famille en me battant mais j’ai été toucher et capturer, me répondit-il enfin.

Je penchai la tête de côté en le regardant éberlué. Il avait avait une famille et il avait été capturé? Mais par qui? Et comment ça “à ce qui parait”?

- Tu avais une famille et tu as été capturer? Bon Dieu! Mais par qui? Et comment ça “à ce qui parait”?

Je remarquai que j’avais dit pratiquement la même chose que j’avais pensé et je ris dans mon plus profond intérieur. Tout de même, sa réponse réveilla en moi une curiosité infaillible. Je ne comprenais tout simplement pas. Je ne m’attendais définitivement pas à ça. Je m’assis sur mes tibias et l’aida à s’asseoir le dos droit. Je l’observai le vent dans les cheveux se concentrer pour tenter de m’expliquer ce qu’il venait de m’apprendre. Remarquant que je ne portais que ma simple camisole et que mon sous-vêtement paraissait en-dessous je replia les jambes sur mon buste et accotai mon menton sur mes genoux. J’entourai ensuite mes bras autour de mes jambes et attendit ses explications. Je savais que c’était impolie, mais au plus profond de moi-même j’avais hâte de repasser à l’attaque, de goûter la saveur de ses lèvres. Mais ses explications s’avérèrent plus intrigantes que je ne l’aurais cru.